Chaton est soumis, il poste sur Twitter des photos notamment de son sexe entravé. Il nous apporte son témoignage.
Quand on est gamin, on se bat généralement pour ne pas être "dans la cage" lors d'un match de foot. Puis il y a ceux qui, devenus adultes, veulent rester "dans la cage" mais d'une autres manière. Une autre cage. Plus petite qu'un but de foot. Plus étroite. Où on est bien plus serré.
Chaton est de ces hommes qui mettent leur virilité en cage et qui s'y plaisent. Agé de 34 ans, ce Twittos est soumis depuis 10 ans et a eu plusieurs maîtresses différentes. Comprenez maîtresses en tant qu'amante. Mais aussi maîtresse ou ma maîtresse, en tant que dominatrice.
"J’aime énormément la sensation de contrôle total de ma maîtresse sur mon plaisir"
Comme toute chose, il a d'abord débuté par curiosité : "La première fois que j’ai mis une cage c’était pour voir un peu mes réactions face à elle lors d’un strip-tease. Il n’y avait pas encore de domination à l’époque mais c’est arrivé très vite après." Car le jeu est plaisant, l'excitation est grande. Chaton poursuit : "J’aime énormément la sensation de contrôle total de ma maîtresse sur mon plaisir et également sur mon excitation surtout j’adore la frustration que ça peut me procurer".
Il n'a droit de rien. Il est là, elle est là, désirable, mais son sexe est prisonnier. Il en a envie mais il ne peut pas. Il reprend : "L'excitation est plus dans la frustration de ne rien pouvoir faire sans en avoir une autorisation. De se balader sur les réseaux, de voir de jolies photos et de me sentir très souvent à l’étroit dans une cage. Ca me procure beaucoup de plaisir."
Parfois, il enlève sa cage. "Quand j’ai des rapports plus traditionnel je pense dans la frustration que j’ai pu connaître dans ma cage car il y a parfois des périodes longues où je suis en cage que je ne peux rien faire", poursuit-il. Ca a déjà duré un mois. Un mois, la bite enfermée sans pouvoir se soulager. Les couilles remplies. Autant dire que la délivrance est courte. D'ailleurs, il lui est même déjà arrivé de jouir encagé. "Au bout d’un mois, je suis extrêmement précoce. Ca s’est déjà fait en cage avec un vibromasseur de type wand". Tellement jouissif, qu'à La17eLettre on a bien envie d'essayer. Si c'est le cas, promis, on tiendra un journal de bord.
Pierre Nino
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