Ma déclaration à Anaïs La Brune

(capture d'écran J&M)

Je suis triste. Triste comme un gamin à qui on dirait que le père Noël n'existe pas. Pour ce beau blog que je voulais attrayant avec de belles interviewes je misais sur mes actrices préférées pour réaliser des interviewes traditionnelles à distance et un brin décalées de visu. Miyuki Son a été adorable et s'est gentiment prêtée au jeu. Je voulais aussi rencontrer Anaïs La Brune. Toutes mes excuses à mon maigre lectorat : cela tarde un peu. Et ça me rend triste.

Car Anaïs n'est pas une actrice comme les autres. Elle constitue mon idéal dans le monde du porno. Je ne saurais l'expliquer. Lorsque je la vois, mon coeur chavire. Elle dégage une joie de vivre mais aussi une forme de candeur qui renforce son potentiel érotique quand elle se déchaîne sur des queues. Joviale et coquine à la fois. Marre de voir des actrices faire la gueule.

Anaïs a des airs de sainte ni touche heureuse. Et j'aime ça. Je voudrais qu'elle m'offre l'occasion d'un petit shooting et de quelques photos pour filer un petit coup de main à La 17e lettre. Qu'elle me raconte comment elle est arrivée de Maurice pour goûter aux vices français. Bref qu'on se dise tout. Les actrices qui me font bander tant sur le plan humain que professionnel et intime sont rares. Et Anaïs est en tête de ce club très fermé...