A 17 autour d'une belle Asiatique
- Pierre Nino
- 4 avr. 2019
- 3 min de lecture
J'ai testé un autre organisateur de gangbang et de bukkake, pratique née au japon qui veut que chaque homme se vide sur une femme et reparte sans l'avoir pénétrée. A genoux devant nous, ce midi, D., belle Asiatique d'à peine 25 ans.

L'adresse a été donnée par SMS. L'appartement où va se tenir l'événement du jour est situé au sixième et dernier étage d'un immeuble cossu du 8e arrondissement. A deux pas de Champs-Elysées. Nous avons tout : le code de la porte principale et celui de l'ascenseur. Il est 12h05 et nous sommes déjà trois mecs, BCBG, à grimper vers l'étage du plaisir. Dans l'appart, l'organisateur est déjà affairé à installer un matelas. Les meubles ont été poussés. Le lit de fortune recouvert d'un drap housse rouge est disposé à l'aplomb d'une verrière. Par un oeil de boeuf, on distingue la point de la Tour Eiffel. D'une grosse valise, le maître de cérémonie sort des masques. Le mari de la belle va filmer. Il sort aussi des bouteilles d'eau, de coca, des gobelets jetables. Des capotes, des lingettes intimes. Pas très écoresponsable tout ça. Dans les escaliers, des talons se font entendre. C'est elle. D., 25 ans à peine, accompagnée de son mari, bien plus âgé. Le couple vit à l'étranger et revient en France parfois juste pour ces moments coquins.
Chic, détail choc : il a sa bite à la main
Lunettes de soleil sur le nez, elle défile devant les hommes qui lui font comme une haie d'honneur. Elle lâche un "ouah". Nous sommes 17, encore tous habillés. Il y a des beaux gosses. D'autres l'étaient certainement quand ils étaient plus jeunes. Tout le monde est bien vêtu. D. veut se faire souiller entre deux réunions. Elle voulait vider des cadres du quartier. Elle ne va pas être déçue. Elle se met à l'écart pour se préparer. Nous payons l'organisateur qui précise : "La fille ne touche rien, c'est juste pour son plaisir". La somme versée sert notamment à régler la location de ce bel appart. Puis, les pantalons tombent. Chacun nettoie son intimité avec les lingettes et attend. L'un des participants garde son costume. Chic, détail choc : il a sa bite à la main.
"Dommage qu'elle ne baise pas"
D. arrive. Elle est belle. A de jolies jambes, couleur caramel, qu'on imagine douces. Un des participants a déjà enfilé sa cagoule. Le mari de D. filme sa femme en pareille position. C'est excitant. Je le sais : je fais de même. D. se met à genoux et rapidement, la belle se retrouve entourée de trois, quatre, cinq, six bites. Elle astique, suce, lèche et laisse son rouge à lèvre sur la belle queue du mec cagoulé. Le eye contact est parfait. Une première éjac arrive déjà. Elle veut tout dans la bouche. C'est ce qu'on appelle un gokkun. Elle tire la langue, et ramène le surplus sur ses lèvres, à l'intérieur pour savourer. D. est amatrice de sperme. Cela créé de plus en plus d'excitation. Chacun vient. L'appelle quand il est sur le point de jouir. C'est mon tour. Elle me resuce. Je succombe. Le cagoulé jouit une deuxième fois. Quel homme. Les premiers se rhabillent et rentrent au travail d'un pas léger. L'un d'eux lâche dans l'ascenseur : "C'est une belle salope. Dommage qu'elle ne baise pas".
Pierre Nino
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