top of page
Photo du rédacteurPierre Nino

...un puceau très catho

Dernière mise à jour : 25 oct. 2019

Vous nous racontez vos expériences dans notre série J'ai couché avec. Aujourd’hui V. (photo réelle), une asiatique de 40 ans, nous a donné trois de ses expériences à retrouver prochainement ici. Pour la première, elle nous relate une rencontre hors norme. Si vous voulez faire comme elle, écrivez nous à la17elettre@outlook.fr





Issue de ce que la société appelle « Bonne Famille », j'ai eu une soi-disante « Bonne éducation » entre la bourgeoisie et la noblesse très catholique. Jusqu'à mes 17 ans, je devais aller à la messe toutes les semaines par obligation familiale. Comme toute personne de mon milieu social, je parcourus différentes écoles privées et religieuses. De même, mes parents désiraient que je fréquente des personnes du même clan social. Pour cela, il existe des soirées spécifiques et très privées où on trouve en moyenne 200 jeunes de même « éducation ».

Lors d'une de ces soirées ségrégatives, j'ai rencontré D., d'un an mon aîné

Dans le cadre de ces soirées, nos parents sont sûrs que l'on reste dans le même rang social tout en espérant que leur futur gendre soit un d'entre eux et, surtout, qu'il préserve notre chasteté jusqu'au mariage. Malgré l'interdiction de sortir outre ces soirées ennuyeuses où je me planquais toujours à côté du bar avec ma meilleure amie, j'ai toujours réussi à fréquenter en douce divers garçons de différents milieux avec lesquels j'ai connu des relations sexuelles. Cependant, à mes 18 ans, lors d'une de ces soirées ségrégatives, j'ai rencontré D., d'un an mon aîné.


On a commencé par flirter gentiment pendant quelques mois. Même si le passage à l'acte sexuel me tentais bien, j'avais décidé de laisser le choix à D., encore puceau et qui affirmait « Je n'aurai qu'une seule femme dans ma vie » (ndrl : en parlant d'une femmeavec acte sexuel).

Allongés sur la moquette, je commençais donc par essayer de déboutonner délicatement son pantalon

Un soir, en fin d'année scolaire, je le rejoins dans l'appartement d'un copain à Paris où nous étions les seuls locataires jusqu'au lendemain. Mais contrairement aux autres soirées ou nuits passées avec D. à parler et flirter gentiment, nous pratiquâmes un flirt très poussé. Tellement poussé que D. décida de passer à l'acte sexuel. J'étais contente qu'un tel homme avec autant de conviction m'ait élue comme la personne pour le dépuceler. Allongés sur la moquette, je commençais donc par essayer de déboutonner délicatement son pantalon. Mais là, D. m'arrêta tout de suite.


Je lui demandai alors s'il était sûr d'être prêt. Il acquiesça mais me répondit qu'il désirait faire cela naturellement comme si l'on était marié. En vérité, il voulait, après explication, qu'on fasse cela dans un lit autour d'un contexte banal. Pour ne pas trop le troubler, je m'exécutai à ses désirs. Je jouais donc mon rôle de femme qui rentre du travail et qui rejoint son mari en caleçon au lit. Puis on s'est mis à flirter. Voulant le branler pour la première fois, je me suis rendue compte qu'il bandait déjà à fond. Là, D. me demanda ce qu'il fallait faire.

Je lui expliquai alors qu'il devait mettre son penis dans mon vagin

Dans la banalité engagée et connaissant nos moeurs où les préliminaires comme la fellation ou le léchage ne sont pas très bien vus, je lui mis un préservatif. Une fois le latex posé, il me demanda la démarche à suivre. Un peu étonnée, je lui répondis qu'il pouvait entrer en moi. Cependant, il me regarda avec un visage très naïf et interrogatif. Je lui expliquai alors qu'il devait mettre son penis dans mon vagin, comme on l'apprend si bien en cours de biologie au collège. Il s'exécuta. Mais une fois son sexe mis dans le mien, il me demanda ce qu'il devait faire. Ce fût plus que de l'étonnement qui se figea alors sur mon visage. Je lui demandai s'il avait déjà vu durant ses 19 ans vécus un film ou un magazine de boules, voire s'il s'était déjà branlé. Il me rétorqua que non. Je l'ai alors interrogé sur ces fameuses discussions de mecs qu'il pouvait avoir dans son internat ou entre amis sur la sexualité et la manière de pratiquer l'acte - les soi disantes discussions machos dont ils sont si fiers -. Il me répondit qu'il n'en savait rien et que cela était un sujet qu'ils ne développaient pas tant que cela entre eux. Je souris.

L'acte dura à peine 2 minutes

Je ne réalisai toujours pas qu'il pouvait encore exister des hommes de 19 ans aussi « sains » sexuellement. Gardant ma patience et commençant à prendre goût à l'instruction, je lui indiquai alors la « démarche » à suivre en lui disant qu'il fallait rentrer son pénis dans ma chatte puis qu'il fasse quelques mouvements d'aller-retour sans sortir son sexe totalement du mien. Il fit donc 2-3 mouvements et me questionna sur la suite de la procédure. Interloquée, je lui demandai plus ou moins ironiquement s'il avait jouit. Et à ma plus grande surprise, il me répondit que oui ! L'acte dura donc à peine 2 minutes. Le sentant pas apte à recommencer tout de suite, je lui dis gentiment qu'il venait de se faire dépuceler. On s'arrêta et continua la nuit avec des flirts poussés. Plus tard dans notre relation, il appris à se retenir un peu plus longtemps. Cependant, il a toujours désiré rester dans la banalité avec la position du missionnaire, malgré mes efforts de lui faire changer d'avis. L'acte sexuel était devenu une envie et une pratique à chacune de nos rencontres. Maintenant, ce qui me fait le plus plaisir quand je le croise, c'est qu'il me remercie toujours de l'avoir dépucelé et m'avoue que les autres positions sexuelles apprises par d'autres ne sont pas si mal...

V.

236 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout

Kommentarer


bottom of page